Jour 4 : « Quand le chagrin est trop fort, il faut le jeter dehors. Les larmes sont là pour ça. » (Agnès Ledig)
ARRETEZ s’il vous plait de vous excuser lorsque vous pleurez. ARRETEZ d’aller pleurer seul(e) dans votre cachette. En réprimant vos émotions, vous les autorisez à vous ronger de l’intérieur. Malheureusement, notre culture a fait de nous des handicapés des émotions. « Il faut être fort », « ne pas pleurer » (surtout les garçons, hein !)… Les pleurs sont libérateurs alors ne vous gênez pas, PLEUREZ (sans vous excuser). Pleurez à fond, jusqu’à ce que vous n’ayez plus de larmes.
Le deuxième effet bénéfique est qu’en montrant votre vulnérabilité, vous offrirez peut-être aux autres un modèle, qui leur permettra à leur tour de se libérer des injonctions sociales et à leur tour montrer leur vulnérabilité. Inspirez le monde, même dans votre souffrance. NOUS NE SOMMES PAS DES ROBOTS ! Pleurer une personne aimée, après un jour ou après des années, est votre droit le plus strict en tant qu’humain.
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