Jour 12 : « Le travail de deuil passe essentiellement par les mots et par la confrontation au réel. Il y a peu d’échappatoires. Ce travail implique, qu’on le veuille ou non, de se confronter à la palette de toutes ses émotions, de tous ses ressentis. » (Christophe Fauré)
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Si j’ai appris quelque chose sur le deuil, c’est qu’on ne peut en faire l’économie. Aussi désagréables (le mot est faible) que soient les émotions qui nous traversent, si on les met sous le tapis et essaie de les ignorer, elles referont toujours surface. Faire l’autruche sur la réalité et sur ses ressentis, c’est activer une vraie bombe à retardement, dont la déflagration finira toujours par retentir 💣💥, parfois consécutivement à un autre deuil ou un évènement mineur, qui sera le révélateur d’un « travail non fait ».
Avant de pouvoir refaire surface, il faut accepter de plonger et toucher le fond.
L’accompagnant au deuil offre un espace de parole dans lequel vous pouvez « user la charge émotionnelle » (selon, toujours, Christophe Fauré) jusqu’à ce qu’elle soit moins douloureuse.
Où en êtes-vous en ce moment ? Est-ce que vous faites tout pour éviter de vous mouiller ? Avez-vous plongé ? Êtes-vous en train de remonter ? 🏊🏼♂️
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