Jour 1 : « On ne fait pas son deuil, c’est le deuil qui nous fait » (Michel Onfray)
Le deuil est un processus automatique, que l’on ne choisit pas de « faire » comme l’on cocherait des cases sur une « to-do list » (« liste de tâches à effectuer »). C’est lui qui nous façonne et nous change, malgré nous. Il entraine donc dans son sillon d’autres deuils, comme le deuil de la personne que nous étions (nous ne serons plus jamais le/la même… mais être différent(e) n’a jamais voulu dire être moins bien, hein ! 😉). Cette semaine, lors d’une interview à paraître prochainement pour mon podcast « Deuil et Spiritualité », l’image suivante m’est venue en tête : celle d’une pierre, trimballée malgré elle et emportée par le courant, les tourbillons, les vagues ( = émotions), et qui en ressort transformée… en galet. Adoucie. Assagie.
Est-ce que cette métaphore du processus de deuil vous parle ? Quelle est votre représentation mentale du deuil ?
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